Dark Lyrics
SUBMIT LYRICS LINKS METAL LYRICS - CURRENTLY 13 800+ ALBUMS FROM 4500+ BANDS
ABCDEFGHIJKLMNOPQRSTUVWXYZ#

CELESTE LYRICS

1. Laissé Pour Compte Comme Un Bâtard


Laissé pour compte comme un bâtard
Le genre d'erreur qu on regrette à peine digne d'un qu eu tard
Pendu à une corde honteuse
Sèche tendue et peu flatteuse

Tes journées s'empilent et se ressemblent
Comme de vieux livres qui n'ont pourtant rien à faire ensemble
La bile t'habille d'un costume gris
Bien trop large pour ton âge et teinte de mépris

A quel sein se vouer même flétri
Quand même tes parents entretiennent leur déni a coup

De bouteilles à la mer
Et d'humiliations tortionnaires

L'oeuvre d'un ivrogne fini saoulé laminé
Et d'une mégère engourdie
Scalpée
Violée

Une photo de famille à l'horizon bouché
Un gamin sur le grill braconné et abusé


2. Au Pied D'une Bicoque Peu Séduisante


A force de lutter contre les barrières tropé paisses qu on lui a opposé l'issues

Emble se trouver au fin fond du puits qui lui a toujours servi à noyers
Es envies naissantes qui lorgnent sur les mêmes pistes enivrantes

La tête penchées sur le côte
Les paupières vacillantes ou fermèes

Ses lèvres aux plis humectés
Laissent par moments transpirer une sorte de faiblesse
Humiliante
Tout es mains lié es et paradant
Au tour de lui abandonné au pied d'une bico
Qui peu séduisante
Trônent des gamines aussi laiteuses que fébriles

Au firmament cette farandole l'en terre au plus profond
Plus que délaissés eu le cette enfants emble pou voir lui faire tout oublier


3. Sans Crainte De S'avouer Un Jour Naufragée


Les doigts ficelés à des fardeaux
Rongés et crevassés par la sécheresse
Tes yeux fixées sur les rideaux
S'éteignent lentement le long de ton ivresse

Ce roulis hypnotiques ép anche sur les cheveux de ta princesse

Cet te barque de fortune ne demande qu à s'échouer
Violemment sans crainte de sa vouer
Un jour naufragée

Elle differe de cette haine avilissante
Qui sou lève les jupons deces ptit es poupées
Elle attis etes obsessions branlantes
Tut images des desseins aux bords cornés frêle

Érectile
Lancinante
Attendrissante

Noyé au creux de cette vague d'errance
Paumé au milieu de tes rêves d'enfance
Lové an créà ce port d'attache
Encré lové comme un vieux lâche

Pour le mieux
Mal heureux

L'as de tirer
Sur cette
Vieille chaînes


4. (X)


[Instrumental]



5. Tes Âmes Soeurs Immaculées


Ce ne sont jamais que quelques revers
Que quelques revers de plus que tu consigner as tout au plus
Noyé
Lové

Lové à contempler encore une fois les secondes
Plongé dans un silence quit éloigne en apparence

De son chemin comme une façon des éjouer decedessein pour de bon
Lové dans cette moiteur chaleureuse tut ecoupes de cette atmosphère quelque peu malheureuse
Attiré maladivement par cette bête viscéralement bousculé au plus profond de ton etre

Les lévres à moi tie trempées dans ce mélange
Des avons en sanglantés tu sombres dans la démence

Ouverts taillés

Coulant dans le silence
Ruisselant dans l'ignorance

Ce ne sont pas ces maigres vaguelettes qui nettoieront le marasme dans le que tu te confonds

Ni de balayer ces chimères en voutant es dans un bal où s'embrassent tes merveilles
Ni le balayer ces chimères écoeurantes sur ces ol où s'embra sent puis sé teignent
Tes âmes soeurs immaculées au beau milieu deces carcasses putréfiées


6. Dans Ta Salive, Sur Sa Peau


Sous cet arbre apaisant tu savoures
Ses boucle si risées qui scintillent en croisant
Les rayons embrasés de cet abris de secours
Sons ou rire il luminé cautérise sur l'instant

Les angé coulé
Au point de sécher
Les larmes accumulées
Près pour une fois à embrasser

Ses levres duveteuses entrouvertes
Impatient d'effleurer ses bras legèrement pliés
Le souffle court les sens en alerte
Tremblant comme les feuilles qui tombent et se logent sur vos pieds

Soudain tout est brisé tu sens ce sang très lourd qui coule de nouveau
Dans ta salive sur sa peau
Aux creux de ses larmes et se mele aux fluides
Qui s'écoulent jus qu entre ses cuisses tièdes et terreuses un corps tremblotant

Couché blanc bafoué
Par une àme fourvoyée
Depeinte sur ce tableau

Couché blanc bafoué
Par une àme fourvoyée
Depeinte sur ce tableau

Tes errances les plus abjectes
Me mimaient même pas le moindre d'étau il de cette scène
Méme cette main tendue tu rejettes
Comme les mains tendues que chaque jour ont assène

Dans ces volutes moirées
Ce sont tous ces fardeaux que tu as laissés tombe

Pourquoi remuer la même merde
Mieux valait haïr cette vieille chienne
C'en est plus le moment de prier
Il est trop tard pour s'affranchir du passé

Puissent ses larmes te libérer
Puisse son âme pour une fois s'apaiser
Puisse cette l'ame te soulager puis et on âme pour une fois s'apaiser


7. D'errances En Inimitiés


Froide
Trop serrée
Ballotée
D'errances en inimitiés

Froissée de force et bercée
Dans un linge sans confiance
Puis trainée

Face contre terre

Sur des chemins
De traverse

Terreux et boueux
Vierges et glacés

Ils dansent les brasé carte lés
Sans même se soucier des crisé touffés
Qui tranchent pourtant de l'ambiance
Faus se menté gayée noyés l'insouciance

Là où ils trinquent l'eurs verres dans le froid
Nocturne et givré l'indifférence est ancrée
Elle trinque sans même palper l'effroi
D'un portrait qui lui semble pourtant toujours familier


8. Cette Silhouette Paumée Et Délabrée Qui Sanglote Et Meurt


D'un berceau laineux à un lit de feuilles terreux
Elle divaguait sans cesse et tentait de décrire
Sur des pages poreuses ce tableau hideux
Qui la ramènera à terme dans cette crasse promise

Plombée peu à peu par des formes graciles
Rejetée et ignorée par la douceur native et ses consoeurs dociles

Lourde pour son âge
Elle touchait aux pour tours des barrières qui lui font face
Et quil étouffent encore

Ses repèr es vacillants en disent longs sur ses grimaces de misère
Qui hantent des visions noircies quelle se ressasse encore et encore

A chaque fois tu fais face à des visions qui pour toi transpirent l'horreur
À cette silhouette paumée et délabree qui sanglote et meurt
Ses contours enflent et luisent sur les carreaux que tu fixes de peur
De nourrir cette liste que tu connais maintenant par coeur


9. Empreinte D'érotisme


Enfouie dans ses tréfonds
Flirtant avec d'autres songes plus profonds
Cette romance enivrante
Cogue et plane comme une compagne accueillante

Fixant par la fenêtre
Houspillant ce têtre éphèbe un peu bête
Emprunte d'érotisme palpitante rayonnante presque amnésique

Plantée au milieu de cette vitrine
Aux éclats tranchants mêlés de cyprine
L'indifférence écoeurante
Tance la volupté d'un amour imagé

Flouée

Floue et blême


10. (Y)


[Instrumental]



11. Serrés Comme Son Coeur Lacéré


Ce garçon croisé par la fenêtre
L'aimante soudain comme une bète

Le jour sous le charme de cette silhouette titubante
Decepant indé semparè qui force
L'empathie un brin ma la decoincé livide suintant
Meurtri ses hésitation s'empruntées l'appâtent de fait

Le soir lovée dans ses draps
Entre les cuisses ses doigts

Flirtent sur les plis cotonneux et froissés
Entre ses genoux se figent ses poignets
Serrés comme son coeur lacéré
À bout de bras maintenus pour toujours écartés

Appâtée sous cet arbre dans le silence
Apaisée par la chaleur qui règne sous ces branches
Mêlée aux odeurs veloutées
D'herbe et de terre fraiche qui cèdent sous l'eurs pieds

Elle se sur prend à lister des plaisirs long temps délaissés
Sur le lit de feuilles au creux du quel ils se sont abandonés

Sur ses lèvres se lisents ses hésitations
Dans sa salive se répand le goût de l'humiliation
Fuyant maladroitement cette langue dure et putride
Téta a nisée sur cette terre soudain froide et humide

Le sang coule et gonfle
Les veines de ses doigts crispés

Les larmes couvrent ses joues
Et ses ongles en sanglantés

Ses paupières se ferment sur une romance avortée
Une bouteille à la mer qui vient de se fairé eventrer
Comme une soubrettes sous verre ayants ouffert de puis tant dannées
Une soubrette sous verre ayants souffert de puis tant d'années

Brisée comme le verre qui semble en ce moment la penetrer
Froide comme le fer qui dans un instant va la lacérer
Comme une proie apeurée à pleurer sous le joug de la haine
Une proie apeurée à pleurer sous le joug de la haine

Suppliée de taire l'horreur flagrante de cette scène
De pardoner cette erreur vivante et obscène
Deux mains opposèes des doigts croisés délétères
L'ombre des on ombrée levée dans la boue et la merde


12. Outro


[Instrumental]




Antoine – Bass
Royer – Drums
Guillaume – Guitars
Johan – Vocals


Submits, comments, corrections are welcomed at webmaster@darklyrics.com


CELESTE LYRICS

ABCDEFGHIJKLMNOPQRSTUVWXYZ#
SUBMIT LYRICS LINKS METAL LYRICS - CURRENTLY 13 800+ ALBUMS FROM 4500+ BANDS
- Privacy Policy - Disclaimer - Contact Us -