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1. Avant l'assaut




2. À la goire de Dieu


Posez-vous cette question
Dieu du bien ou l’ami du mal
Tant convoité, tant désiré
Aucun choix dans la pitié
Tous bénissent le don du ciel
Même la souffrance en est fidèle
Enfoui dans le sort de chacun
Courbant l’échine, montrant les reins

Ils prient, les genoux meurtris
Ils prient, les genoux meurtris

Respecter jusqu'à en mourir
Rendre grâce avec le sourire
Des mots, des croix et des supplices
Des illusions pour un merci
Péché de jeu, péché d’envie
On le pratique mais à quel prix
Expier ses fautes au nom du juste
Des rêves et des espoirs perdus

Ils prient, les genoux meurtris
Ils prient, les genoux meurtris

Dieu du sang qui condamne la rage de ses conflits
Dieu des larmes qui partage ces vies
Dieu du sang qui condamne la rage de ses conflits
Dieu des larmes qui partage ces vies

Ils prient, les genoux meurtris
Ils prient, les genoux meurtris
Ils prient, les genoux meurtris


3. Les stratèges


Loin des cris et de la fureur des combats
Ici est un abri ou le silence est roi
C’est le règne de la plume, de la réflexion
C’est le règne de la pensée hors de l’action
Tout le symbole de la frappe
Toute la puissance de l’attaque
Dissimuler dans la grandeur des choix
Tout est décidé valeurs pions ou soldats
Plan de bataille dans un immense échiquier
Au loin les tambours et les marches forcées
Tout le symbole de la frappe
Toute la puissance de l’attaque

Les stratèges
Au sommet de l’empire
Les stratèges
Cœur de l’ombre

Etre à la tète ou pas de la grande armée
Dans le cortège des écrits et des papiers
Derrière des lignes masquées sous les étendards
Manœuvre de précision pour la victoire
Tout le symbole de la frappe
Toute la puissance de l’attaque

Les stratèges
Au sommet de l’empire
Les stratèges
Cœur de l’ombre


4. Division Blindée


La terre saigne, la terre se déchire
Verdun n’est plus qu’un immense cimetière
Les pertes journalières font réfléchir
Aucun refuge dans cet enfer

A croire que la mort n’a plus de frontière
Une médaille aux funérailles

Désillusion aux yeux des chefs
L’idée de cuirasser les premières lignes
Dotés d’un lourd gilet d’acier
Face à l’ennemi comment rester digne

A croire que la mort n’a plus de frontière
Une médaille aux funérailles

Division, division blindée
Division, division blindée

Poussée d’orgueil hors des tranchées
Tels des robots sous le déluge
Piégés dans la boue comme des cibles
Une poitrine de métal étant leurs juges

A croire que la mort n’a plus de frontière
Une médaille aux funérailles

Division, division blindée
Division, division blindée


5. Mary la sanglante


Dans les abimes visqueux de l’angoisse
Mary tourmentée par un père, d’amour sadique
Poupée battue et trainée dans la crasse
Devient par la force des choses une mécanique
Miroir de l’innocence sans reflet
Devant le martyr d’un corps qui subit
Pendule du temps au regard imparfait
Déclenchant la furie, le démon de ses crimes

A Mary la sanglante
D’une robe blanche aux rêves brisés
A Mary la sanglante
Joies de l’enfance si torturées

Hostile désir d’une correction charnelle
Elle plonge une lame dans ce corps incestueux
Buvant le sang pour une paix éternelle
Sur son visage une cicatrice cache ses yeux

A Mary la sanglante
D’une robe blanche aux rêves brisés
A Mary la sanglante
Joies de l’enfance si torturées


6. Lycanthropie


Bestia, bestia…

Germanie peines et chagrins
Un village rongé sous un vent glacé
Malédiction disent certains
Des corps retrouvés parfois sans moitié

Le pouvoir de détruire
Le pouvoir se déchire

Lycanthropie, lycanthropie

Aussi rousse que soit la lune
Tard dans la soirée, la traque est lancée
L’astre dévorant qui surgit
Rampant dans la boue, chassé et blessé

Le pouvoir de détruire
Le pouvoir se déchire

Lycanthropie, lycanthropie

Refuge dans la vieille chapelle
Le pardon conduit l’animal en ces lieux
Refuge dans les maux qui chancellent
Apparait l’image d’un prêtre qui se meurt

Le pouvoir de détruire
Le pouvoir se déchire

Lycanthropie, lycanthropie


7. Poison d'état


La cour du roi soleil ou courent de viles rumeurs
Sombre dans l’affaire des poisons
La noblesse du royaume, marquises et amants de cœur
S’adonnent à la poudre de succession

On dicte, on ensorcelle
La mort est bien plus belle
On dicte, on ensorcelle
Méfiance au gout de miel

Par la faute ou par le doute
Poison d’état
Trahir derrière un sourire fatal

Services et commandes de préparations toxiques
Sont les favoris de dit « la voisin »
Sortilèges d’amour et de haine biblique
Substances magiques et rituels assassins

On dicte, on ensorcelle
La mort est bien plus belle
On dicte, on ensorcelle
Méfiance au gout de miel

Par la faute ou par le doute
Poison d’état
Trahir derrière un sourire fatal

Malgré la force de l’interdiction religieuse
Souverain unique d’une France soupçonneuse
Exposé aux scandales de l’intrigue

On dicte, on ensorcelle
La mort est bien plus belle
On dicte, on ensorcelle
Méfiance au gout de miel

Par la faute ou par le doute
Poison d’état
Trahir derrière un sourire fatal


8. La parodie du fou


Doté d’une forte malice
Je suis un favori
La mine colorée
Aux noces le préféré
La pratique de l’esprit
Dans une bouffonnerie

Tu vois qui je suis
Tu vois qui je suis

Sous le masque de la folie
Je suis l’ami du mépris
Insultes aux caresses, subit
Sous mes paroles on m’applaudit
Mon triomphe est si cruel
Pour le lys et ses duels

Tu vois qui je suis
Tu vois qui je suis

Lourd est le mal du corps
Pitié dans ses remords

Tu vois qui je suis
Tu vois qui je suis


9. Souvenirs de Gambai


Charmeur cruel, courtois si obligeant
Parlant d’amour, de fleurs, de lendemains plaisants
Patience à toute épreuve pour saisir la finesse
Séduction dans un rôle, qu’importent les promesses

Rencontres calculées, le hasard n’a pas sa place
Politesse travaillée, le doute en elles s’efface
Des femmes rassurées, une nouvelle vie s’impose
Le piège se referme sur une porte close

Oh, la peur aux yeux de lame
Oh, la mort derrière les roses

Scénario insolite dans cette obscure demeure
Derniers mensonges pour les élues donnant leurs cœurs
Les braises déjà rougies, les outils aiguisés
Complaisant jusqu’au bout sur des sourires figés

Oh, la peur aux yeux de lame
Oh, la mort derrière les roses

Richesse trop facile et train de vie suspect
Au prix de bien des fautes, le tueur est aux arrêts
Débris humains dans une vérité de cendre
Dernière étreinte d’une autre dame sans confiance

Oh, la peur aux yeux de lame
Oh, la mort derrière les roses


10. Livide


Claquement, le choc, l’indescriptible douleur
Puis ce silence, un lourd battement de cœur
Plaqué au sol, gisant dans les barbelés
Griffant au vol, la vie qui va s’échapper

Toutes ces images qui traversent ma tete
Toutes ces images qui défilent sans cesse
Basculé sur le sentier des pleurs, une âme perdue sur un champ d’honneur

Livide est mon visage pétri de peur
Putride sera l’odeur en vile froideur
Ecartelé dans le jardin du diable
Ecartelé sur le chemin des dames

Comme un pantin, au corps désarticulé
Tôt ce matin, mon sort s’est embrasé
Ce voile noir, qui danse et lèche mes yeux
Me fait comprendre, qu’une paix n’a pas de lieu

Toutes ces images qui traversent ma tete
Toutes ces images qui défilent sans cesse
Basculé sur le sentier des pleurs, une âme perdue sur un champ d’honneur

Livide est mon visage pétri de peur
Putride sera l’odeur en vile froideur
Ecartelé dans le jardin du diable
Ecartelé sur le chemin des dames

Aucune réponse, à l’élan délibéré
Seul un recueil, d’un récit troublé
L’impact creuse, une jeunesse écourtée
Seul dans la meute, mon sang s’est écoulé

Toutes ces images qui traversent ma tete
Toutes ces images qui défilent sans cesse
Basculé sur le sentier des pleurs, une âme perdue sur un champ d’honneur

Livide est mon visage pétri de peur
Putride sera l’odeur en vile froideur
Ecartelé dans le jardin du diable
Ecartelé sur le chemin des dames


11. Dernière morsure


Dans les steppes et les âges de fer
Je suis né pour forger les guerres
Prince de l’ombre, sans une tombe
Perdu dans des siècles de sang
Festoyer à la table du diable
Plonger dans la peur primale
Mercenaire des âmes, laideur d’un visage
Brisé à me nourrir du temps

Fatigue sous le poids de mes trophées
Fatigue sous le poids de mes années
Triste royaume

Quand viendra mon heure
Quand viendra mon heure
A la droite des seigneurs
Dans la tete ou dans le cœur

Je suis la gloire d’un soldat sans vie
Qui hante les flammes et qui pourrit
Le pire de l’espèce, le pire sous la peste
Oublié de l’éternité, mon corps n’est qu’une chair rongée
Caché dans cette armure souillée
Les armes en sursis, fermé dans l’agonie
Dernière morsure au gout fétide

Fatigue sous le poids de mes trophés
Fatigue sous le poids de mes années
Triste royaume

Quand viendra mon heure
Quand viendra mon heure
A la droite des seigneurs
Dans la tete ou dans le cœur


12. Vestige d'un chaos





Didier "Dog" Bouchard ‒ Drums
Pascal Betov ‒ Guitars, Vocals (Backing)
Phil Grelaud ‒ Vocals
Claude "KLOD" Thill ‒ Bass, Keyboards, Vocals (Backing)
Bernard Y. Queruel ‒ Guitars, Vocals (Backing)


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